Après 14 ans passés à la Laupenstrasse à Berne, l'Académie de la mobilité du TCS a déménagé à Ostermundigen. Nos bureaux se trouvent désormais au siège principal du TCS, Poststrasse 1, 3072 Ostermundigen.

Notre offre carvelo2go, qui connaît un grand succès, aura une nouvelle présentation et un nouveau nom en 2023 : carvelo2go deviendra carvelo. Ces dernières années, le terme "carvelo" s'est imposé pour désigner un vélo-cargo à propulsion électrique, et nos utilisateurs parlent eux aussi depuis longtemps de "carvelo" et non de "carvelo2go". Cela nous a confortés dans notre décision de simplifier le nom de la marque et d'appeler désormais l'offre "carvelo" et les cargobikes électriques "Carvelos". Nous procédons par étapes, intégrons le nouveau logo sur les supports imprimés et présenterons également notre site web et notre application dans un nouveau design au printemps.

Le 28 février 2023 aura déjà lieu le deuxième "Shared Mobility Salon" (SAMOSA). L'invitée sera cette fois Delphine Morlier, responsable de la mobilité à l'Office fédéral de l'énergie. La discussion portera sur le rôle de la Confédération dans le développement du marché de la mobilité partagée en Suisse et sur les mesures qui ont été récemment publiées dans l'Agenda 2030 de la mobilité partagée. De quelles mesures s'agit-il et comment doivent-elles être mises en œuvre ?

Deux petites camionnettes électriques de "smargo - Shared Micro Cargo" circulent désormais aussi à Zurich. Dans les villes de Bâle, Berne et Lausanne, le projet pilote a suscité un grand intérêt depuis mai 2021 et y est désormais poursuivi en tant qu'offre fixe. L'extension à la ville de Zurich suit maintenant avec deux sites smargo, le magasin sans emballage "Granel" à Oerlikon et le "Grand Café Lochergut". A Zurich, smargo est soutenu par le Service des travaux publics (Tiefbauamt) et la section zurichoise du TCS, les partenaires nationaux étant le Touring Club Suisse et Robert Aebi Landtechnik AG.

À partir du 1er janvier 2023, de nouvelles règles s'appliqueront à l'utilisation des drones. Les exploitants devront se conformer à une série de nouvelles règles, suivre une formation et posséder un certificat. Il y aura des hauteurs de vol maximales modifiées, des limites de poids et des restrictions territoriales. Nicolas Brieger, directeur de la DAVMA, déclare : "Même si la réglementation implique souvent des restrictions pour les utilisateurs existants, c'est le signe d'un secteur qui se professionnalise. Il est bon, par exemple, que pour de nombreuses applications qui n'étaient jusqu'à présent que difficilement réalisables, comme les vols hors de vue, nous ayons enfin la sécurité juridique et l'alignement sur les processus internationaux dont a besoin un secteur en pleine croissance".